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  • Complètement dédié à toi, à nous : pour une femme qui m'aime et que j'aime, mais qui aime ses enfants et que son mari aime, tous ces amours pour elle, chut, elle est épuisée, maintenant, elle dort, dans cent jours je viendrai la réveiller d'un baiser plus
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6 février 2011

Arc en ciel

J'ai eu de tes nouvelles, indirectement, pour un peu j'en pleurais de joie. Tu me manques, je ne peux même pas exprimer à quel point tu me manques, c'est un enfer sur cette terre, c'est une injustice devant le monde, c'est un feu qui me dévaste, qui comme le Phoenix me réduit en cendre durant le jour et recommence à me dévorer lorsque le jour se lève.
Je suis aspiré par ta voix, que j'ai enregistré heureusement au hasard de l'une de nos innocentes promenades dans Paris, traversant les ponts de la Seine de part et d'autre, et je m'enivre de sa musique, de sa clarté, de ton rire, ton rire, mon amour, qui chante, qui s'élance vers les hauteurs de Notre Dame, qui raisonne dans ses voûtes, tu es Esmeralda, et à cause des méandres incertains et capricieux la vie, je ne suis que Quasimodo.
Je sais que tu penses à moi, je sais que je te manque, c'est encore plus dur. Si tu ne m'aimais pas, ce serait simple, ce serait terrible, cela me briserai, une bonne fois, je retournerai à la vie sans saveur, à la vie grise, à la vie sans toi, à la vie qui ne nous dit rien, qui ne nous apprend rien.
Je sens que tu m'aimes. Je devine les tremblements de ton corps et de ton âme lorsque nos êtres s'approchent l'un de l'autre, et même seulement lorsque nous savons que nous allons nous rencontrer. Je le sens parce que cela raisonne dans tout mon être, car je vis la même chose, cet arc électrique, cet arc en ciel qui jaillit de nos plus profonds secrets, comme deux enfants qui s'aiment, qui se trouvent et se retrouvent, dans le secret de leurs jeux, dans la bulle qu'ils ont dessinée,dans le monde imaginaire qu'ils ne voient que lorsqu'ils sont réunis.
Je t'aime comme ça, à l'infini...
Posté par pazzar à 23:39 - Oh temps suspend ton vol ! - Commentaires [0] - Rétroliens [0]
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Cent jours

J'ai juste un espoir, c'est que tu me lises, pour que tu restes en tension dans le cheminement de tes pensées, pour que tu comprennes que je suis décidé contre vents et marées à t'attendre, que chaque jour je mets tout en oeuvre pour me préparer à t'accueillir, pour être prêt le jour où tu m'appelleras pour me dire " je n'en peux plus, de vivre ainsi, je veux retrouver la lumière, je veux sourire et rire largement, me griser de sensations, de sentiments, de liberté."

En attendant, je me prépare, comme un athlète se prépare pour les JO. J'ai beaucoup de chemin à parcourir, si je veux t'accueillir dans de bonnes conditions J'ai pris quelques décisions sérieuses concernant mon hygiène de vie, je me motive en pensant à toi, j'espère que tu ne baisseras pas non plus les bras.

Dans cent jours, soit le 2 mai, si je n'ai pas craqué d'ici là en te téléphonant, je t'appellerai.

Dans cent jours, mon amour, c'est long, si long, mais compte tenu de ce que je dois réussir, c'est en même temps très court.

Que mon amour pour toi me donne cette force...

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